de l’agriculture et des arts de Lille. Année 1849. Étude sur la trigonométrie. Gnomonique. À Lille - Alphonse Heegmann
répertoire universel des sciences, des lettres et des arts. Tome XIII. Gnomon et Gnomonique. À Paris en 25 volumes - Dirigé par Ange de Saint-Priest
Livre IV. Gnomonique. À Paris - Joseph Adhémar (1797-1862)
Seconde édition, la première de 1840 ne comporte pas de passage concernant la gnomonique.
de l’académie des sciences et lettres de Montpellier. Tome II - IIième fascicule. Années 1852-1853. Traité de gnomonique. À Montpellier - Lenthéric
Journal des candidats aux écoles polytechnique et normale. Tome XV. Gnomonique. Construction d’un cadran solaire à style quelconque, en s’assujettissant à la condition de n’employer que des droites pour les lignes horaires et les lignes de déclinaison. À Paris - Charles Peaucellier (1832-1919)
Journal des candidats aux écoles polytechnique et normale. Tome XV. Théorie du cadran solaire de Dijon, sa généralisation. À Paris - Charles Peaucellier (1832-1919)
La première généralisation du cadran analemmatique (les projections parallèles sont considérées comme des cas particuliers de la projection centrale à partir d’un point quelconque). Difficile de faire plus concis.
ou méthodes sûres pour construire les cadrans solaires. À Avignon - Abbé Chaix
Dictionnaire abrégé des sciences, des lettres ,des arts, de l’industrie, de l’agriculture et du commerce. Tome IV. Gnomon, Gnomonique. À Paris en 12 volumes de texte et 2 volumes de planches - J. E. Tardieu
de l’école impériale polytechnique. Chapitre VIII : Applications. Des cadrans solaires.
de l’académie des sciences et lettres de Montpellier. Tome V. Théorie et construction du cadran solaire portatif dit analemmatique. À Montpellier - E. Viala
61e année. Mois de juillet. Gnomonique. Rapport sur un tableau destiné à résoudre graphiquement les triangles horaires, par M. Henri Robert, horloger. À Paris - E. de Silvestre
62e année. Mois d’août. Gnomonique. Rapport sur un nouvel anneau astronomique ou cercle zénithal pour prendre la hauteur du soleil, par M. Henri Robert fils. À Paris - E. de Silvestre
de tous les genres de cadrans solaires. À Dunkerque - H. Vansteenberghe
à l’usage de MM. les curés et desservants. À Paris - E. Monot
Cadran azimutal, lunaire, polaire, solaire. À Paris - Hippolyte Sonnet (1802-1879)
Tome III. Cadran. À Paris en 17 volumes dont 2 suppléments - Pierre Larousse (1817-1875)
Voir aussi dans ce dictionnaire :
À Paris - Amédée Guillemin (1826-1893)
Gnomonique. Manière très simple d’établir ou de vérifier exactement, dans notre pays, une méridienne pour le règlement des horloges. À Poligny - M. Thevenin
Compte rendu de la 2e session. Cadran solaire azimutal. À Paris - M. Lisbonne
À Bruxelles - J.-P. Streosser
Deuxième édition.
avec toute la précision des calculs trigonométriques et sans tirer aucune autre ligne que celles des heures. À Draguignan - Joseph Ferdinand Benjamin Vidal
5e série. Tome VI. Les cadrans solaires coniques. À Paris - G. Rayet
vrai régulateur des instruments d’horlogerie par l’abbé Berthiaud. À Bourg-en-Bresse - M. Béraud
Tome LX. De la rétrogradation de l’ombre sur le cadran solaire. À Lausanne - Étienne Guillemin (1832-1907)
Le Dictionnaire des amusements des sciences mathématiques et physiques, auquel se réfère Étienne Guillemin, est un volume de l’encyclopédie méthodique et le problème concerné est Comment l’ombre d’un style peut rétrograder sur un cadran solaire sans miracle, soit le problème XXXII des Récréations de Montucla. Dans l’encyclopédie, la remarque de Montucla reproduite ci-dessous n’a pas été reprise. Elle aurait peut-être orienté différemment les propos de Guillemin.
Profitons de ce commentaire pour pointer vers les écrits bibliques qui sont, par ailleurs, souvent cités en référence. On trouvera notamment dans cette Bible protestante de 1779 numérisée par e-rara :
REMARQUE.
Quelqu’un dira peut-être que voilà l’explication naturelle du miracle que les livres saints nous apprennent avoir été opéré en faveur d’Ezéchias, roi de Jérusalem ; mais à Dieu ne plaise que nous ayons eu l’idée d’atténuer ce miracle. Il est d’ailleurs bien peu probable que, si la rétrogradation de l’ombre, opérée sur le cadran de ce prince, eût été un effet aussi naturel, on l’eût méconnu au point de ne s’en apercevoir que lorsque le prophète lui annonça ce signe de sa guérison ; car il devait s’opérer toutes les fois que le soleil se trouvait entre le tropique & le zénith du cadran : ainsi la merveille citée par les livres saints reste entière.
ou collection de mémoires sur les monuments historiques de France. 5e série, tome 5. Inscriptions et devises horaires. À Tours - Marc-Charles-Edmond Séré, baron de Rivières (1835-1909)
L’article est divisé en 4 parties.
servant à déterminer la latitude, la méridienne et l’heure moyenne. À Paris - V. Flechet
Cadrans solaires. À Paris - Ernest Laurent
Quelle heure est-il ? Le temps vrai, le temps moyen et les cadrans solaires. À Paris - A. Lepaute
Construction des cadrans solaires. À Paris - Henri Amat
Le cadran solaire à rétrogradation. À Paris - Étienne Guillemin (1832-1907)
Voir le commentaire de la publication de 1877
des arrondissements d’Avranches & de Mortain. Tome VII. Le Cadran astronomique du Bois-Adam. À Avranches - Alfred de Tesson
Cet article est complété par une annexe parrue l’année suivante.
Avec un appendice donnant la théorie du cadran solaire à rétrogradation. À Lausanne - Jules Gaudard (1833-1917)
Compte rendu de la 17e session. Recherches sur la courbe d’ombre d’un piquet vertical. À Paris - Édouard Collignon (1831-1913)
Les cadrans solaires. À Paris - Anonyme
Cadran solaire portatif. À Paris - Charles Édouard Guillaume (1861-1938)
Tracé pratique d’une méridienne. À Paris - Théodule Moureaux (1842-1919)
professé à l’école nationale d’arts et métiers d’Angers. Honoré Muraire (1833-?)
Les cadrans solaires, à propos de deux instruments anciens. À Paris - Charles Édouard Guillaume (1861-1938)
Les cadrans solaires. À Paris - Charles Édouard Guillaume (1861-1938)
En France, l’heure légale passe de l’heure moyenne locale à l’heure moyenne de Paris
La construction d’un cadran solaire. À Paris - Charles Édouard Guillaume (1861-1938)
À Avignon - A. Decohorne
Suite à l’institution, en 1891 et sur tout le territoire français, de l’heure légale qui correspond au temps moyen de Paris, ce cadran solaire est l’un des premiers à introduire la correction en longitude. On retrouve une description de ce cadran dans la revue Le génie civil n°670 de 1895, p. 376.
système Ch. Chamberland. À Paris - Charles Chamberland (1851-1908)
Les cadrans solaires portatifs. À Paris - Charles Édouard Guillaume (1861-1938)
Les cadrans solaires modernes. À Paris - Charles Édouard Guillaume (1861-1938)
Inventaire raisonné des sciences, des lettres, et des arts. Tome XVIII. Gnomonique. À Paris en 31 volumes - Ch. de Villedeuil
Les cadrans solaires. À Paris - Raphaël Blanchard (1857-1919)
C’est dans cet ouvrage qu’apparaît la première mention du nom de Zarbula attribué au cadranier qui réalisa, au milieu du XIXe siècle, une centaine de cadrans dans les Alpes françaises et italiennes.
de l’académie des inscriptions et belles-lettres. 43e année, n° 1. Le cadran de Carthage. À paris - Paul Tannery (1843-1904)
Marcel Gautier
Éric Mercier
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